
Il a, par la suite, ajouté, qu’il s’adressait, aussi, au gouvernement égyptien, en sa qualité de président et homme politique, pour supplier voire demander de ne pas exécuter ces sentences, car a-t-il tenu à préciser aux autorités égyptiennes, au cas où elles l’ignoreraient, la politique sert avant toute autre chose à baisser le degré de violence et de tension dans une population.
C’est probablement, en partant de ce principe, que Marzouki opère en Tunisie de la façon dont il opère, évitant toute intervention susceptible de faire monter les tensions qui règnent en maitre dans le pays. Tout en gardant ses interventions les plus vigoureuses pour quand il est à l’étranger, histoire de laisser l’éloignement géographique agir pour temporiser la tension qu’il crée à chaque fois. Comme quand il a promis de dresser les potences et les guillotines pour ses opposants… Tiens ! Mais, ce n’est pas d’exécutions qu’il était en train de parler, là ? Donc, si on comprend bien il donne des leçons aux autres tout en rêvant de faire le contraire chez lui ? Bizarre !
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