
En vantant le modèle tunisien de transition démocratique, le quotidien classe les pays du monde arabe en six catégories:
Les pays démocratiques où la Tunisie occupe l’unique place de choix.
Les semi démocraties à l’instar du Liban.
Les démocraties de façade où l’on retrouve l’Algérie, l’Égypte, la Mauritanie, le Soudan ou encore la Palestine.
Les pays en guerre civile comme la Syrie et l’Irak et les monarchies absolues à l’instar de l’Arabie Saoudite.
Pour se justifier, The Economist affirme
que des pays du « Printemps Arabe », la Tunisie est seul pays n’ayant
pas plongé dans le chaos et où la transition démocratique est en passe
d’aboutir.
En Égypte, la révolution a été
confisquée par l’armée et débouché sur une répression cinglante des
pro-Morsi, Quant à l’Algérie, elle a échappé à l’onde de choc
communément appelée révolution.
Pourtant, la Tunisie s’apprête à écrire
une nouvelle page de son histoire à travers de nouvelles élections où le
spectre de l’abstention et du discrédit pèse de tout son poids.
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